Oeil&Octave, c’est Nina, une créatrice que je suis sur les réseau sociaux depuis + de 2 ans maintenant. Avec qui j’ai passé des heures à papoter de divers sujets (notamment d’entrepreneuriat depuis quelque temps au sein de notre cercle des entrepreneures alignées, avec deux autres belles âmes Tiphanie et Temaï -coucou si vous passez par là !-). Une âme passionnée et passionnante comme j’adore en rencontrer !
D’ailleurs, je t’avais fait découvrir sa boutique et ses création au travers du premier volet 👉🏻 un Noël slow waste & made in France !
Parce que depuis le début, mon coup de cœur pour la personne qu’elle est et ce qu’elle fait de ses 10 doigts, est bien réel. Tu sais aussi que je suis une créatrice, et que la lithothérapie est l’une de mes passions. J’avais donc envie de te faire découvrir un peu plus cette slowpreneure (assemblage de slow = lent en anglais et entrepreneure), qui confectionne avec son âme, avec éthique. Un savant mélange de son amour du voyage et de créativité !
Donner la parole aux personnes qui donnent un sens aux mots Respect, Partage, Amour est l’une des raisons de ses interviews. Alors sans plus tarder, commençons !
Bonjour Nina, je suis ravie de te recevoir aujourd’hui !
Pour celleux que ne te connaitraient pas, peux-tu te présenter ?
Nous raconter un peu ton parcours et comment tu en es arrivée à ouvrir ta boutique Oeil&Octave ?
Tout d’abord, merci Marie de m’accueillir chez toi !
Bonjour à tou.te.s ! Je suis Nina, je crée des objets de rituel pour Oeil&Octave, la marque que j’ai fondée après quelques années de salariat dans le secteur radiophonique. Je me considère comme une créatrice païenne, mystique et engagée.
J’ai toujours adoré étudier alors, j’ai multiplié les cursus : littérature, histoire de l’art, scénographie, langue et civilisation chinoise…
En parallèle, j’ai travaillé à la radio à Paris assez fortuitement. Et j’ai finalement évolué dans ce secteur qui n’avait rien à voir avec mes études. Cet environnement était vraiment privilégié et stimulant intellectuellement, cependant je me suis vite rendue compte que le salariat contraignait mes deux priorités : le voyage et la créativité.
En 2020, j’avais pour projet d’aller vivre en Nouvelle-Zélande (ça te dit quelque chose Marie ? 😉). Évidemment, la situation globale a clairement freiné mes ardeurs de voyages. Donc j’ai dû repenser mon projet, pour être libre de mes décisions et pouvoir exprimer ma créativité au quotidien.
Pour autant l’entrepreneuriat ne s’est jamais imposé à moi comme une évidence ! Je viens d’un modèle familial où tout le monde est salarié, je n’avais tout simplement jamais pensé me mettre à mon compte. Oeil&Octave est né d’une curiosité d’essayer, mais sans grand désir de conquête, je dois bien l’avouer haha !
Pas de plan d’actions, pas vraiment de business plan, encore moins de plan marketing… 😅 Juste des envies et des balbutiements. Je pense que ça fait véritablement à peine un an que je réféchis sérieusement à l’expansion d’Oeil&Octave et que je vois ce projet comme une véritable entreprise.
Je suis aujourd’hui artisane, tarologue, sonothérapeute et olfactothérapeute.
Mon univers est rassemblé sous le nom Oeil&Octave, une constellation d’éveil des sens et des pensées. Il s’adresse aux âmes souhaitant vivre avec intentions, au rythme des saisons, dans l’écoute de leur cosmos intérieur pour être dans l’attention du monde extérieur. Je vis et je crée au diapason de la nature dans un ancien moulin à eau au cœur de la campagne française.
– Comment gères-tu le fait d’être une business woman ?
L’entrepreneuriat est une incroyable aventure humaine ! Tout comme j’ai mis du temps à considérer Oeil&Octave en tant qu’entreprise, je crois ne pas avoir encore tout à fait réalisé que je pouvais également porter l’étiquette de business woman. Autant, je pense avoir l’âme d’une créatrice, jamais en mal d’idées et d’envies, autant je ne me pense pas très efficace comme business woman. Je dois encore travailler l’aspect comptable, marketing et communication. C’est mon axe d’amélioration pour les mois à venir !
– Te considères tu comme une sorcière ?
Si je me réfère à Starhawk (écrivaine et militante écoféministe, ainsi qu’une néopaïenne américaine et une sorcière. ndlr) : « « Sorcier.e.s » est le terme que j’utilise pour me référer à une femme ou à un homme qui honore les cycles de la naissance, de la croissance, de la mort et de la régénération. » alors oui !
Mais je ne me présenterai pas spontanément comme telle. Non pas que le mot me déplaise ; au contraire, je trouve qu’il est porteur d’une puissance invaincue (pour reprendre Mona Chollet). Toutefois, par déférence aux femmes qu’on exécute encore aujourd’hui dans certaines sociétés orientales pour des pratiques dites de sorcellerie, m’attribuer ce titre sonnerait à mes oreilles assez folklorique vu mon privilège de vie occidentale.
Se considérer sorcière et se nommer sorcière sont pour moi, deux choses différentes. Se nommer sorcière est pour moi un acte politique et militant, et pour l’instant, je ne me sens pas encore armée pour le défendre.
– Que t’as apporté la spiritualité dans ta vie ?
Tout ce que le cartésianisme ne m’a pas apporté : l’art du lâcher prise face à ce qu’on n’explique pas, rester humble, s’en remettre à plus grand que soi, faire partie du Grand Tout, découvrir la voie mystique, vivre en reliance avec le Vivant (visible, invisible, passé, présent et futur).
Dans une société qui prône la matière, me dire que tout est vibrations, et donc appréhender le quotidien avec la notion de l’énergétique, alors que j’y étais très hermétique ! Devenir plus spirituelle m’a surtout appris l’impermanence de toute chose. Accepter que ce qui est difficile aujourd’hui ne le sera peut-être plus demain. Mais que si c’est toujours le cas, probablement y a t’il un enseignement, voire un cadeau caché derrière cette épreuve.
Profiter en conscience lorsque tout va bien, car une tempête peut toujours arriver. Et profiter également pleinement dans son incarnation. Il est important pour moi d’avoir une spiritualité incarnée qui n’est pas déconnectée du corps. Observer les cycles avec respect et humilité, puisque tout est fait de naissances et de morts. Et que pour surpasser la fin des cycles, il n’y a que la transformation.
– Qu’est-ce que la lithothérapie pour toi ?
Une secte de cailloux magiques 😄 !
Blague à part, j’ai pas mal réagi contre les détracteurs de la lithothérapie au début de mon activité. La lithothérapie est selon moi avant tout une démarche spirituelle/émotionnelle, en plus d’être esthétique (Parce que wow ! Quelles merveilles à observer !), elle peut avoir des bénéfices physiques.
Cela étant, je ne recommande pas de se tourner exclusivement vers les pierres lorsqu’on a de fortes pathologies et des maladies lourdes. Les pierres sont pour moi des alliées précieuses pour nous soutenir dans un travail introspectif ou énergétique. Un coup de pouce en cas de stress, de blessures émotionnelles ou d’usure psychologique. Et très souvent des révélatrices de troubles physiques, cependant pas des médicaments.
Ma spiritualité ne m’a pas tout à fait coupé de ma soif de comprendre. Je continue d’avoir l’obsession d’étudier tant d’un point de vue cartésien que mystique. Il a toujours été important pour moi de confronter les visions et les démarches dans toutes mes explorations (notamment le tarot).
Je me suis donc formée à la lithothérapie sous l’angle énergétique et minéralogique. C’était passionnant de pouvoir faire dialoguer la voie spirituelle avec la voie scientifique.
Ce qui m’a permis de comprendre les effets physiques des pierres sur le corps humain !
– Qu’as-tu envie de transmettre dans tes créations ?
Le respect du Vivant et des cycles.
Sacraliser le quotidien rend la vie plus savoureuse. Je ne subis plus le temps depuis que je l’honore. Je faisais partie des citadines pressées par le temps, toujours en train de courir après un rendez-vous. Sans doute pour meubler un vide quelque part. 😉
Depuis que j’ai des rituels à chaque saison ou événement personnel, la ligne du temps se déroule autrement. Je trouve que de penser le temps lent comme un allié est un réel privilège dans notre société ! Je conseille à tout le monde d’essayer.
C’est un grand plaisir d’accompagner ou guider les personnes qui le souhaitent avec Oeil&Octave.
– Quelle est ta création préférée à l’heure actuelle ?
Difficile de n’en choisir qu’une étant la créatrice de toutes !
Depuis plusieurs mois, je travaille sur un tarot olfactif et énergétique. C’est un travail de longue haleine que je ne cesse de peaufiner ! Alors, je serai heureuse lorsqu’il sera enfin finalisé !
Et parmi les créations déjà disponibles sur ma boutique, j’ai envie de valoriser mes talismans d’intentions. Ils sont en argile façonné à la main, orné d’une empreinte d’une plante du moulin cueillie avec soin et respect, puis dynamisé aux sons et aux vibrations d’un bol de cristal.
Je mets de la conscience, du respect et de l’énergie dans tout le processus créatif. C’est selon moi, l’essence d’Oeil&Octave.
– As-tu entendu parler de l’impact environnemental que peut avoir l’ésotérisme et différentes pratiques spirituelles ?
– Par exemple, la très forte demande pour certaines plantes venues de loin, les méthodes d’extraction de cristaux et de récolte de Palo Santo. –
Pour te resituer, Oeil&Octave est né avec la collection initiale des bougies Chakra : des bougies rituelles à la cire végétale aux huiles essentielles incrustées d’une pierre, toujours sélectionnée minutieusement. Pour cette raison, j’ai toujours eu de petits stocks. On m’a rapidement demandé de vendre des pierres à l’unité. Comme je n’avais pas prévu de faire de revente de pierres, j’ai été surprise par la forte demande. Cependant j’ai voulu continuer de choisir chaque pierre à la main et en conscience.
J’ai vite réalisé que ce processus était trop chronophage dans mon activité.
Pourtant, je ne pouvais me résoudre à arrêter d’en vendre, car parlons chiffres : cela représentait au moins 70% de mon chiffre d’affaires mensuel, certains mois, je ne vendais même plus mes créations, seulement des pierres !
Ça m’a posé un double problème éthique :
1. J’ai lancé Oeil&Octave pour créer des objets de rituel avec mes mains. Pas de la revente.
2. L’absence de traçabilité des pierres et l’attrait grandissant pour la lithothérapie par le grand public me posait un sérieux problème éthique quant à la question environnementale et les conditions des travailleurs.
J’ai alors décidé d’arrêter d’en vendre.
Financièrement, ça a été la dégringolade pour mon entreprise. Pour autant, je continue de créer aux contacts des pierres, je me sens inspirée par elles, j’ai toujours un regain d’énergie à travailler avec.
J’ai regardé ce business fleurissant avec une certaine amertume quand je voyais des boutiques en ligne vendre des pierres sans le moindre scrupule ou conscience du désastre écologique. Quand je mettais tant de soin et de conscience dans toutes mes ventes. Un vrai rituel à chaque fois. Et puis je me suis dit que c’était idiot de m’extraire de ce business, car d’autres ne s’en privaient pas. Avec ou non les mêmes valeurs que moi ! Puisque ce business existe, autant essayer de le rendre moins désastreux et mettre de la conscience dans la consommation.
Fin 2021, j’ai décidé de faire une vente annuelle de petite envergure, en choisissant et valorisant chaque pierre, une par une. J’ai senti une belle vitalité en moi aux contacts de ces pierres, je les ai laissé voguer vers des foyers qui les accueilleraient avec joie.
Financièrement, ça m’a un peu aidé à remonter la pente. Cette idée de vente annuelle reste pour moi une bonne alternative, pour continuer de valoriser la lithothérapie tout en mettant en garde contre ses dérives environnementales et sociales.
Je ne sais pas encore quand sera celle de 2022, mais je l’annoncerai sur Instagram 😊.
Concernant les plantes, c’est effectivement le même combat. À quoi bon faire venir une plante « bonne pour soi » mais « mauvaise pour la planète » lorsqu’elle la traverse 3x par avions ? Les effets de tendances sont dangereux pour notre planète. Pour autant je ne condamne pas ces pratiques spirituelles. Seulement, il convient de mettre en garde contre les dérives, surtout auprès des personnes curieuses, mais mal informées. On n’a pas besoin de faire venir de la sauge blanche de Californie quand on a de la sauge officinale française !
C’est aussi parce qu’il y a la peur de mal faire lorsqu’on découvre la spiritualité (ceci est un autre débat) que l’on se tourne vers les pratiques les plus médiatisées. Sans forcément se demander si elles sont néfastes pour l’environnement. Ainsi que pour les populations d’où elles sont extirpées (là encore, l’appropriation culturelle est un autre débat).
Je confectionne moi-même mes bâtons de fumigation avec les plantes du moulin. Cette démarche me reconnecte concrètement aux saisons et me rend attentive et respectueuse des ressources limitées. La Nature n’est pas un réservoir illimité à notre disposition !
J’ai à cœur de valoriser le local, on a beaucoup de chance en France avec de nombreuses plantes endémiques. Faisons déjà avec ce que nous avons 😊 et n’oublions pas que le pouvoir de l’intention, c’est déjà 50% d’une purification.
– La notion d’écologie est-elle importante pour toi ?
Et si oui, comment agis-tu à l’échelle de ta boutique ?
Essentielle !
Avant même d’avoir peaufiné mes créations, j’avais à cœur de réfléchir à l’impact environnemental de ma boutique. Consciente qu’on ne peut pas échapper aux déchets qu’on va générer avec un commerce en ligne, j’ai tout de suite décidé d’avoir une boutique vegan, sans plastique, avec des matériaux biosourcés, recyclés et/ou recyclables, avec un maximum de ressources locales et naturelles. Ça fait foncièrement partie de mes valeurs, ma charte et même de mon identité visuelle.
J’aime à penser que l’on reconnaît Oeil&Octave, au-delà des créations fines, d’ores et déjà par la cohérence des emballages avec la conscience que je mets dans chaque étape de mon processus créatif.
– As-tu des projets pour l’année 2022 ?
L’année 2022 a débuté intensément d’un point de vue personnel. Il m’a fallu mettre mon activité en pause jusqu’au mois d’avril. Je reprends peu à peu le rythme néanmoins j’ai plein d’envies et déjà quelques projets en route pour Oeil&Octave !
Dès fin 2021, je projetais d’intégrer à mon activité artisanale mes autres pratiques : le tarot, la sonothérapie et l’olfactothérapie.
J’aimerais notamment proposer des ateliers thématiques sur le tarot, des voyages sonores et des méditations contées olfactives.
Mon rêve de 2022 serait du présentiel ! Après 2 années de tout digital, les rencontres en chair et en os me manquent beaucoup.
Je travaille à concrétiser cette idée, dans un premier temps en participant à des festivals et marchés de créateurices. Et dans un second, je suis en pleine réflexion quant à mettre en place un événement à échelle humaine pour rencontrer mes plus fidèles abonné.e.s et client.e.s dans un cadre naturel privilégié. 😊
– Te suivant sur Instagram, je sais qu’il y a eu des moments compliqués au Moulin ces derniers mois.
Quand est-il maintenant, arrives-tu à t’en sortir financièrement parlant ?
Je ne vis toujours pas de mon activité.
Je peine parfois à rembourser mes dépenses, toujours très nombreuses lorsqu’il s’agit d’artisanat. Le coût des matières premières a augmenté ces derniers mois, creusant l’écart de mon bénéfice réel et renforçant l’aspect précaire de mon statut.
Néanmoins, je persévère, car j’aime ce que je crée et je suis fière de l’approche éthique et consciente avec laquelle je fais vivre Oeil&Octave. Mais cela ne suffit pas, d’autres voies parallèles sont nécessaires si j’espère me reverser un salaire un jour.
Dans un premier temps, j’envisage la voie des produits numériques qui me réclament certes encore beaucoup de temps et de travail (team perfectionniste 😅), mais je me délivre du coût des matériaux !
Dans un second temps, je pense proposer des ateliers en lien avec le tarot, la sonothérapie et l’olfactothérapie. Mais pas avant d’avoir quitté la vie rurale 😉.
– Donc si aujourd’hui, on souhaite t’aider, on peut : ?
Tout le soutien que je peux recevoir pour valoriser mon travail et mes initiatives est accueilli avec une grande gratitude !
– soutien financier : la commande de mes créations sur la boutique Oeil&octave en ligne, l’inscription à ma formation de tarot et la donation libre pour m’accompagner dans les frais que j’ai pour créer du contenu gratuit (newsletter, masterclass, podcast à venir).
– soutien par le partage : s’abonner à mon compte Instagram @oeiloctave, partager mon travail et mon contenu sur les réseaux sociaux, s’abonner à ma newsletter mensuelle et la transférer aux personnes qui sauront l’apprécier, faire fonctionner le bouche-à-oreille, etc. Et m’inviter (comme tu le fais ici 😄) pour des interviews, des live insta, des épisodes de podcast ou des conférences !
– soutien énergétique : m’envoyer de bonnes ondes de joie, d’expansion et d’abondance ♡
– Puisque nous sommes entre amateurices de pierres ma dernière question sera : quelle est ta pierre préférée ?
Selon les cycles, les envies, les vibrations, mon attraction pour une pierre va changer.
On va dire qu’en tête de peloton, pour mon corps et mon âme, il y a souvent l’amazonite, la fluorite, la cornaline et le grenat.
Pour la maison, la labradorite, le cristal de roche et la mokaïte sont partout !
Juste avant de clôturer cette interview, j’ai demandé à Nina de se prêter au jeu du « This or that? ». Voici ses réponses :
* C’est très juste de pointer du doigt que l’un ne signifie pas toujours l’autre. Je pense que le greenwashing tend à faire l’amalgame dans les esprits. Les deux pour moi ont une importance primordiale et devraient toujours fonctionner de paire. Mais si j’essaie de jouer le jeu de ne choisir qu’une réponse : mon âme toute entière est vegan.
J’ai entamé le chemin de la transition végétale il y a déjà plus de 20 ans (ça ne me rajeunit pas 😋). Et devenir vegan est véritablement la meilleure décision que j’ai pu prendre pour être en accord avec mes valeurs et me sentir alignée. Juste avec les habitants de notre Terre et moi-même. C’est le choix le plus cohérent de respect du Vivant. Qu’il soit animal, végétal ou humain.
** Ah tricky !! J’adore et je confectionne les deux. Mais je dirais quand même bougie puisque c’est ce qui m’a motivée à créer Oeil&Octave.
*** Cristal de roche pour l’usage quotidien et bois sacré pour l’usage cérémoniel 😉.
**** Je dirai podcast, même si je reste une inconditionnelle du blog ! Je déplore qu’ils tendent à disparaître au profit des formats courts et éphémères. Le podcast est pour moi le juste compromis entre le contenu durable du blog et le contenu « snacking » (divertissant et sans efforts). On peut l’écouter à peu près partout, il accompagne beaucoup de tâches.
Je souhaite commencer l’aventure du podcast avec un projet polyphonique qui tarde à se mettre en place. C’est un projet de podcast à plusieurs voix et témoignages. Je souhaite au travers des épisodes éveiller les consciences, opérer des déconditionnements et aider découvrir les voies mystiques. Précisons que tu as semé la graine du podcast il y a quelques mois ! En m’envoyant un vocal sur Instagram en me disant que j’avais une voix à podcast. J’avais déjà très envie d’en lancer un mais n’osais pas, l’idée à continuer de germer, alors merci !
Je te remercie Nina d’avoir accepté cette interview avec moi 🙏🏻. Je suis fière de compter une femme inspirante de plus parmi mes invitées sur ce blog.
Merci à toi Marie de m’avoir offert cet espace d’expression !
Pour lire plus d’interview :
- De la pub au tatouage, rencontre avec l’artiste tattoo Onirix
- Photographe engagée : interview de Clothilde Redon, entre photothérapie et impact positif